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articles
Sophrologie
- Définition / Outil
à prendre conscience
/ Relaxation
: recherche d'un état
naturel / Dialogue
tonique / Schéma
corporel / Principe
d'action positive / Réalité
objective / Imagination
/ Respiration
/ Futurisation
/ Relaxation
et états de cotnscience
/ Relaxation
dynamique / Respiration
et enracinement / Bibliographies
Sophrologie
- Définition
Étymologiquement,
la sophrologie est l"Etude
de la conscience en harmonie". Il est question
plus clairement de développer
la conscience humaine.
La sophrologie
est une méthode d’étude
et de développement de
la conscience, la conscience
étant ici la «
connaissance immédiate
que chacun possède de
son existence, de ses actes
et du monde extérieur
».
En élargissant
la perception par l'individu
des éléments physiques
et psychologiques qui le définissent,
le sophrologue favorise l'expression
de tout son potentiel, permet
d'harmoniser l'être avec
son existence, d'épanouir
sa personnalité dans
sa globalité et de contrôler
la régulation de son
fonctionnement corporel et psychique.
Il est question
d’épanouissement personnel,
d’équilibre, de connaissance
et de maîtrise de soi
: en développant toutes
ses potentialités, l’individu
élargit son champ de
conscience, c’est à dire
la manière de s’appréhender
et d’appréhender le monde.
Il
s'agit donc de développement
personnel, d'un outil existentiel
à but pédagogique,
thérapeutique ou prophylactique.
En
haut
Outil
à prendre conscience
Sophrologie signifie
éthymologiquement l'étude
de la conscience en harmonie
Il s’agit d’une
méthode d’étude
et de développement de
la conscience, la conscience
étant ici la «
connaissance immédiate
que chacun possède de
son existence, de ses actes
et du monde extérieur
».
En empruntant
à Mr Vittoz les principes
de sa rééducation
psychosensorielle, l’homme a
deux facultés : émettre
et recevoir :
- la pensée
émet.
- la conscience
reçoit, sous la forme
d’images psycho-sensorielle.
En sophrologie,
le sujet développe sa
réceptivité, élargit
son champ de conscience, c’est
à dire la manière
de s’appréhender, d’appréhender
les autres et d’appréhender
le monde.
La pratique sophrologique
constitue donc un outil à
prendre conscience. Elle rejoint
en cela les idées phénoménologiques.
Loin de toute démarche
analytique, on porte son attention
sur des phénomènes,
vécus et intégrés.
Le bébé
n’a un rapport avec ce qui l’entoure
que sous la forme d’images sensorielles
(chaud / froid, agréable/désagréable,
…). Ce n’est qu’avec la conceptualisation
par le langage qu’il quitte
la sensation « pure »
et commence à émettre
et à prendre sa réelle
dimension cognitive. Les pensées,
schémas de représentations,
images mentales, façonnées
par l’individu en inter-relation
avec le milieu dans lequel il
évolue proposent alors
une vision du monde déformée,
réductrice voire dysfonctionnelle.
La sophrologie
permet un juste retour au phénomène,
à la sensation. Libéré
de tout déterminisme,
le sujet peut être en
contact avec lui même,
développer ses potentiels,
se connaître mieux, élargir
un champ de conscience jusque
là entravé et
réduit.
Si l’on considère
la sophrologie comme un «
outil à prendre conscience
», plus qu’une discipline
isolée, il s’agit plutôt
d’un moyen efficace d’exponentialiser,
de développer toute démarche,
pédagogique, thérapeutique
ou prophylactique et ainsi d’en
accroître les effets.
En
haut
Relaxation
: recherche d'un état
naturel
Lorsqu’on évoque
la relaxation, on pense volontiers
à une activité
de salon plus ou moins ésotérique,
sorte de ramollissement somnolent.
Il
n’en est rien. Etymologiquement
«Relaxer» signifie
«re-libérer»,
à l’image du prisonnier
qu’on relaxe.
Il s’agit ici
de libérer des ressources
et énergies nouvelles,
présentes en chacun de
nous.
Le relâchement,
tout comme la tension sont des
états naturels.
Chaque fibre
musculaire a deux possibilités
: se contracter ou se relâcher.
Culture et société
modernes nous apprennent à
ne pas se laisser aller. L’éducation
est également un facteur
déterminant. L’individu,
au fil de son histoire oublie
le chemin qui mène au
relâchement.
Pratiquer
la relaxation, c’est guider
corps et esprit vers la redécouverte
de cet état physiologique
inscrit dans la mémoire
cellulaire.
Se relaxer n’est
donc pas un phénomène
artificiel ou extérieur.
Il s’agit de retrouver et de
libérer des compétences
perverties par l’histoire de
l’individu : la relaxation existe
en nous de manière naturelle,
se relaxer, c’est donc aussi
progresser dans la connaissance
de soi-même.
En
haut
Dialogue
tonique
Tonus musculaire
La
physiologie de l’individu présente
deux types de muscles :
- Muscles lisses
(ou muscles blancs) : leur contraction
est autonome, involontaire ou
soumise au système nerveux
végétatif.
- Muscles striés
(ou muscles rouges ou muscles
squelettiques) : unissant les
os, ils permettent la mobilité
du sujet. La contraction de
ces muscles est volontaire,
soumise au contrôle cérébral.
Ce sont les muscles
striés, muscles volontaires,
qui nous intéressent
ici. Ces muscles sont maintenus
dans un état de contraction
partiel mais permanent : le
tonus musculaire, qui permet
par exemple de maintenir le
corps dans une situation donnée.
Ce seuil minimal de contraction
est bien entendu variable selon
l’individu.
Régulation
Les
chocs, émotions agissent
sur la fonction tonique du muscle,
d’où l’importance de
l’apprentissage de sa régulation
en relaxation. Selon ses capacités,
le sujet répondra de
deux manières à
une agression :
- Dérèglement
du tonus musculaire : agressé,
le sujet se contracte exagérément.
Cette dépense d’énergie
ne lui permet pas d’agir correctement
pour résoudre le problème.
D’autres sollicitations surgissent.
N’ayant pas retrouvé
tout son tonus musculaire, cette
nouvelle agression est encore
plus mal vécue que la
précédente… La
tension devient chronique.
- Régulation
du tonus musculaire : le tonus
musculaire est plus bas. L’agression
ne crée pas ou pu de
tensions. Le sujet peut réagir,
avoir accès à
ses ressources puis retrouver
rapidement et aisément
son état de départ.
Fonction et
dialogue tonique
La
fonction tonique est au centre
de la vie de chaque individu.
Dans sa relation avec lui-même,
mais aussi avec son environnement.
Dans ce cadre,
la relation à soi et
au monde dépend essentiellement
du dialogue tonique que l’individu
peut mettre en place. Répondre
aux demandes de manière
sereine, dans un corps libre
et épanoui, établir
une relation non-tensionnelle.
Ce dialogue est
autant physiologique que psychologique.
C’est d’ailleurs là une
de ses spécificités.
Réconciliant intellect
et corporalité, il apporte
à l’individu une juste
et libre appréciation
de la vie en relation. La maîtrise
de ce dialogue est le but de
la relaxation.
En
haut
Le schéma
corporel
Les difficultés
que vit un individu trouvent
nécessairement leurs
racines dans une disharmonie
:
Disharmonie
entre l'individu et lui-même
: "je suis moche"
Disharmonie
entre l'individu et les
autres : "On se fiche
de moi"
Disharmonie
entre l'individu et le monde
: "Tout est contre
moi"
L'individu est
sans conteste le dénominateur
commun de ces discordances,
l'élément fondateur
de la problématique humaine.
Avant toute chose, il semble
donc logique et incontournable
de se pencher sur l'individu,
à travers son témoin
le plus crédible : la corporalité.
La sophrologie
permet à l'individu de
prendre conscience de sa réalité
physique, sans interférences
des déterminismes sociaux,
familiaux ou psychologiques.
La prise de conscience
en tant que réalité
vécue de son schéma
corporel
est
le chemin aussi sur qu'incontournable
de la révélation
d'un individu à lui-même.
Le corps et le monde des sensations
sont les témoins indiscutable
d'une rencontre authentique.
En
haut
Principe
d'action positive
Définition
N'importe quelle
action, sensation positives,
vécues par l'être
humain sous quelque apparence
que ce soit, a des conséquences
positives sur l'ensemble de
sa conscience.
Pourquoi le
positif?
L'homme moderne,
malade ou non, n'enregistre
le plus souvent dans la vie
que des faits négatifs.
Le corps n'est envisagé
que dans la douleur. Les pensées
ou les images mentales sont
négatives. Ce phénomène
entraîne nécessairement
un climat psychologique néfaste.
Les expériences
positives enracinent et justifient
l'individu. Il ne s'agit pas
de tomber dans un optimisme
béat, mais plutôt
de redonner au positif sa fonction
constructrice.
En sophrologie,
on ne considère plus
le passé comme une succession
de catastrophes, mais on considère
les périodes, actions
ou sensations de bonheur passées,
en partie oubliées. On
les vit, corporellement, mentalement.
On réhabilite le corps,
la fonction sentiment, et cela
de manière positive.
Ce vécu
positif rappelé à
la conscience permet d'élargir
son champ d'expression, de soulager
les difficultés vécues
"ici et maintenant"
et d'envisager l'avenir de manière
plus ouverte. Toute construction
se fait sur des sensations positives.
En
haut
Réalité
objective
La démarche
sophrologique s’inscrit dans
le réel. Il ne s’agit
nullement de se couper du réel
mais de s’y adapter, de, développer
des ressources adaptées
à l’environnement, aux
situations. Mais pour
cela, la prise de conscience
du réel est nécessaire.L'approche
sophrologique est une recherche
de réalité, réalité
objective : moi, ici et maintenant,
déchargé des déterminismes,
croyances, ... phénomènes
subjectifs.
En
haut
L'imagination
Définition
"C'est
la capacité de se représenter
des objets, phénomènes
ou événements
absents"
Réhabilitation
L’imagination
est prépondérante
dans l’évolution de l’individu.
Elle ouvre le chemin de voies
nouvelles.
L'imagination,
la visualisation d’un projet
représentent le premier
pas, essentiel, de sa réalisation.
La recherche
d’une évolution, d’un
état, de sensations en
sophrologie passe donc par une
réhabilitation de l’imaginaire
et par son utilisation en tant
qu'outil de développement
personnel, d'évolution
ou de changement.
En
haut
Respiration
Respiration
- Emotion
La
respiration est la seule fonction
vitale dépendante du
système neuro-végétatif
que l’homme puisse maîtriser.
Participant à la régulation
du système nerveux, de
la circulation sanguine, la
fonction respiratoire est bien
entendu capitale d’un point
de vue physiologique.
D’un point de
vue psychologique, la relation
entre respiration et état
émotionnel n’est plus
à prouver. Mais, dans
le cadre de la gestion émotionnelle,
l’important est de constater
que cette relation est bilatérale
:
La vie psychique
influe sur la respiration.
La
respiration influe sur la vie
psychique.
Fonction respiratoire
Pour
respirer, il faut des muscles.
Le diaphragme est le muscle
le plus important de la fonction
respiratoire.
Dans une
respiration libérée,
le diaphragme s’abaisse à
l’inspiration et monte à
l’expiration.
Il assure
une respiration ample et abdominale.
Dans les respirations
superficielles, irrégulières,
arythmiques, le diaphragme est
souvent bloqué. Des tensions
musculaires contrarient la liberté
du souffle, ce qui impose à
l’individu un surcroît
d’effort.
En lui redonnant
sa mobilité, on accroît
la ventilation pulmonaire, on
masse le plexus solaire, on
tonifie la région abdominale.
La vie respiratoire
La respiration
abdominale est celle du bébé
et du jeune enfant avant apprentissage,
celle des dormeurs profonds
et des animaux.
L'éducation
("Tiens-toi droit!",
"rentre ton ventre"),
la vie sociale modifient la
respiration naturelle et profonde
: elle devient thoracique et
superficielle.
Une respiration
libre, calme et diaphragmatique
assure un meilleur équilibre
émotionnel.
Complète,
elle procure une relaxation
profonde et tonifie l’organisme.
En respirant
amplement, on détend
les muscles intercostaux et
on libère la cage thoracique,
crispations souvent liées
à la peur, la timidité,
la rigidité morale, …
Une respiration
complète, équilibrée
et stable (enracinement), permet
la prise de conscience de l’individu
dans sa globalité.
En
haut
Futurisation
Acceptation
progressive
Il
s’agit de vivre, en état
de relaxation et par l’intermédiaire
de l’imagination, une situation,
un événement à
venir sous un angle positif.
Se
projeter confiant et maître
de soi, très concrètement,
dans un événement
qui habituellement pose problème
libère de nouveaux axes
du possible. L’horizon de l’individu
s’élargit, il s’en imprègne
: « cela peut bien se
passer ».
Correction
sérielle
Toujours
en état de relaxation,
le sujet fait alterner images
négatives, stressantes
et image de bien-être
jusqu’à ce que les situations
anxiogènes soient vécues
sereinement.
L’individu,
peu à peu s’éloigne
de son angoisse, se détend,
vit calmement les images habituellement
perturbantes. Il s’en rend compte,
en éprouve plaisir et
satisfaction. Là encore,
le champ du possible s’élargit.
Encore
une fois imagination et positif
ne sont pas de vains outils.
L’une sert à conceptualiser,
ouvrir le champ du réalisable,
l’autre à construire
le projet ainsi défini.
En
haut
Relaxation
et états de conscience
Etat Alpha
Si
vous avez déjà
expérimenté une
relaxation, vous avez déjà
expérimenté l’état
alpha. Il s'agit de l'état
de relaxation, de "bord
du sommeil". Cette dénomination
fait référence
aux ondes cérébrales
émises en état
de relaxation. Aperçu
général :
Ondes bêta
: ce sont les ondes émises
lors de l’éveil, de toute
activité. Elles sont
de faibles amplitude et rapides
: 14 à 20 cycles/secondes.
La panique peut par exemple
faire accélérer
ses ondes jusqu’à 50
cycles/seconde.
Ondes Alpha :
ce sont les ondes émises
par le cerveau lors e l’endormissement
ou de l’éveil. etat de
bord du sommeil que l’on retrouve
dans une séance de relaxation.
Le relâchement musculaire
entraîne le lâcher
prise mental que le relevé
de ces ondes manifestent : 7
à 14 cycles/seconde)
Ondes thêta
: c’est la phase de sommeil
léger : 4 à 7
cycles par seconde
Ondes delta :
elles correspondent au sommeil
profond et en ralentissant encore
au coma : 1 à 4 cycles/seconde.
Etat
de relaxation et états
de conscience
L’état
de détente, de relaxation
recherché en sophrologie
est un état naturel.
Ce point est important tant
il paraît anormal dans
nos société de
se laisser aller.
Comme
nous l’avons vu, c’est d’ailleurs
un état que nous traversons
tous au moins deux fois dans
la journée :
- lorsque nous
nous réveillons.
- lorsque nous
sommes sur le point de nous
endormir. Cet état (sophronique
pour les sophrologues) est notamment
appelé « du bord
du sommeil ».
Le
but en sophrologie est de développer
les potentialités de
l’individu, avec comme révélateur
son degré de développement
de conscience (de lui-même,
de ses actes, des autres, …) . Cette conscience
est hyper-disponible en état
de relaxation.
D’un état
pathologique, le sujet évolue
vers un état normal (ou
non pathologique). Mais l’évolution
ne s’arrête pas là.
L’état de conscience
sophronique est recherché,
sorte d’hyper-conscience, vigilante,
libérée de toute
pensée et crispation
parasites et donc prête
à accueillir pleinement
toute sollicitation ou remise
en cause.
Cet état
de bien-être (au sens
propre), agréable par
lui-même, est avant tout
un outil d’évolution
et de changement. Il a de multiples
intérêts. En état
de relaxation (niveau sophroliminal)
:
- La détente
psycho-corporelle apporte un
bien-être immédiat.
- Les
capacités de mémoire
et de concentration sont accentuées.
- La
capacité à former
des images est plus importante
(imagination)
- Les sensations
vécues vont être
intégrées sans
effort, naturellement.
- Le
lâcher-prise est permis,
le champ du possible s’ouvre.
En
haut
Relaxation
dynamique
La relaxation
dynamique pratiquée en
sophrologie est adaptée
au réel, à l’homme
moderne. Quittant la dimension
statique de nombreuses méthodes
de relaxation, il s’agit, en
état de relaxation, d’activer
la prise de conscience par l’individu
de sa réelle dimension.
L’individu est
tout d’abord guidé dans
un enchaînement d’exercices
qui révèle le
sujet à lui-même,
par l’expérience vécue
et intégrée de
sa corporalité.
De nombreuses
disciplines témoignent
de zone-types de blocages (chakras,
centres energétiques…).
Il ne s’agit pas ici d’analyser,
mais de vivre pleinement cette
dimension corporelle en ouvrant
la conscience à ces zones
privilégiées.
La relaxation
dynamique, à travers
des tensions douces, alternance
de mouvement et de repos est
un « outil » à
prendre conscience : instrument
de conquête par l’homme
de sa corporalité, de
sa prise de conscience d’un
schéma corporel toujours
évolutif.
Les mouvements
s’effectuent essentiellement
en rétention : inspiration
– rétention / mouvement
– expiration.
Puisqu’il s’agit
de s’ouvrir aux phénomènes,
les pauses d’intégration
suivant le mouvement constituent
l’étape la plus importante.
On a pris conscience, on intègre
ces sensations ici et maintenant
sans a priori ou interprétation.
En
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Respiration
et enracinement
Se relaxer debout
est une chose étrange,
mais essentielle car adaptée
au réel. Quand il y a
difficulté, tension,
mal-être, c’est en relation
avec soi, les autres ou le monde.
La position première
est alors la station debout.
Difficile position, lieu d’un
dilemme entre exigences extérieures
et ressentis intérieurs
: être présent
à soi et au monde. Position
juste que l’enfant possède,
installé dans son centre
de gravité mais pervertie
par les enjeux de nos exigences,
celles des autres ou du monde
qui nous entoure.
Ainsi déséquilibré,
la confiance ne vient plus pour
l’homme de ce qu’il est, corporellement
et réellement, mais de
ce qu’il pense, de ce qu’il
sait ou de ce qu’il est pour
les autres. Déséquilibre
provoquant tensions, insécurité,
rapports conflictuels, …
Se recentrer,
c’est se retrouver pleinement
: homme debout, responsable,
libéré, en pleine
confiance, installé autant
en lui-même que dans le
monde qui l’entoure, ressentant
un juste équilibre entre
être et paraître,
entre présence à
soi et au monde.
Le hara : il
s’agit du centre de gravité
originel, expérimenté
par l’enfant qui se tient debout,
le bas-ventre. Naturel, ce centre
a été expérimenté
et vécu par tous. Là
encore, il ne s’agit pas d’une
construction de l’esprit ou
d’une démarche artificielle
mais d’un retour au source.
Retrouver
ce hara, l’intégrer,
le faire sien, c’est se donner
une base de lancement, un lieu
essentiel d’épanouissement
de l’être tout entier,
une assise franche et solide
au devenir de l’être.
Illustration
: Centre de gravité bas,
respiration ventrale, jambes
légèrement pliées
ne gardant que les tensions
nécessaires, pieds bien
en appui sur le sol, assise
du bassin.
En
haut
Bibliographies
Sophrologie
Sophrologie
- Fondement et méthodologie
/ Dr
P-A Chéné
/ Ellébore
|
Sophrologie
- Champs d'application
/ Dr
P-A Chéné
/ Ellébore
|
Manuel
de Sophrologie pédagogique
et thérapeutique
/ B. Etchelecou
/ Maloine
|
La
sophrologie - Chemin
vers la conscience
/ J-Y PECOLLO /
Editions du Rocher
...
|
La
sophrologie au Quotidien
/
J-Y PECOLLO / Editions
du Rocher
|
Respirez
la vie avec la Sophrologie
/ G. Manet / érès.
|
Transformez
votre vie par la
Sophrologie - Guide
de Relaxation dynamique
et curative / T.
Loussouarn / Dangles
|
Tout
savoir sur la sophrologie
/ R. Abrezol / Editions
Randin
|
Sophrologie
pratique
/ A. Daprey / Guy
Trédaniel
Editeur
|
La
nouvelle Sophrologie
- Guide
pratique pour tous
/ Dr Claude Imbert
/ Editions
visualisation holistique
- Paris
|
La
sagesse du corps
/ Dr B. Fintz /
Editions Randin
|
Le
schéma corporel
en Sophrologie et
ses applications
thérapeutiques
/
M. Declerck / L'Harmattan
|
Force
vitale
/ P. Vern / La méridienne
- Desclée
de Brower
|
L'enfant
et la Sophrologie
/
M. Gilet / La Méridienne
|
Sophrologie
& Enchantements
/ M-S. Robert-Dantec
/ Beltan
|
La
Sophrologie
/ Luc Audoin / Les
Essentiels Milan
|
Former
avec la sophrologie
/ B.
Blanc / Chronique
sociale
|
L'énergie
et le dynamisme
grâce à
la sophrologie
/ Martine Gay /
Editions de Vecchi
|
Relaxation
La
relaxation / Jean-G.
Lemaire / Payot
|
La
relaxation
- Actualité
et innovation vol.1
/ Jean Marvaud /
L'Esprit du temps
|
La
relaxation - Actualité
et innovation vol.2
/ Jean Marvaud /
L'Esprit du temps
|
Psychothérapie
de la relaxation
/ S. Cady / dunod
|
Détente
et mouvement en
psychothérapie
- L'Abord Corporel
Thérapeutique
/ E. Baron - C.
Benoit / ESF
|
La
Relaxation active
-
Le corps, expression
de l'être
/ M. MARTENOT /
Le courrier du livre
|
Le
Training autogène
/
D. Langen / Vigot
|
Manuel
pratique du Training
autogène
/ J.H. Schultz /
puf - bibliothèque
du psychiatre
|
Le
Training autogène
/
C. Brand-Hetzel
/ Marabout
|
La
relaxation au quotidien
/ G. Manent / Le
souffle d'or
|
La
relaxation au quotidien
/ G. Manent / Le
souffle d'or
|
La
relaxation active
à l'école
et à la maison
/ S. Boski / Retz
|
Des
jeux pour détendre
et relaxer les enfants
/
D. Chauvel - C.
Noret / Retz
|
L'enfant
et la relaxation
/ G. Manent / Le
souffle d'or
|
La
relaxation thérapeutique
et l'enfant /
J. Bergès
- M. Bounes / Masson
|
Comment
relaxer vos enfants
/
Y; Davrou / Retz
|
Relaxation
et détente
des enfants
/ P. Barraqué
/ Jouvence
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